Dans le cadre d’un projet pour ma formation à DORANCO, il nous a été demandé de nous challenger sur un nouveau format :
l’étiquette.
Un brief client nous a été donné nous poussant à travailler sur un jus, nous laissant comme contrainte de devoir trouver nous même les noms des jus, leurs goûts ainsi que le type de bouteille qui sera commercialisé.
La dernière contrainte était l’application des étiquettes sur un mockup montrant les bouteilles.
Ainsi, on travaille sur le concept de cueillette de l’entreprise par l’utilisation de la fameuse Plume d’Illustrator via la création d’une pousse.
Fort de ces idées, j’ai réussi à produire ce logo. Sympa et efficace !

Maintenant qu’on a notre logo, on peut commencer le travail sur l’étiquette.
J’avais pour contrainte d’utiliser des fruits/légumes détourés, ainsi qu’un liquide rappelant la fraîcheur de la boisson. Via Photoshop, j’ai commencé à concocter mon design mais il y avait un soucis : comment fait-on une étiquette ?
En effet, ce projet m’a demandé d’aller chercher l’information, notamment sur les éléments constitutifs d’une étiquette, leur place, et leur caractère obligatoire ou non.
Autant certains éléments devaient être logiquement présent tel que les ingrédients ou la dénomination du produit, autant certains éléments constitutifs de mon étiquette n’étaient pas si évident pour moi qui n’avait jamais créé d’étiquette.
Puisque les breuvages étaient issus de l’agriculture biologique, une mention sur l’étiquette était obligatoire ainsi que le logo bio, ou encore le triman qui devait obligatoirement être présent.
Que de détails qui n’aurait titillé que les connaisseurs, mais une précision qui je pense m’a permis de me démarquer.

Avec ma première étiquette, il me fallait deux autres goûts, deux autres noms pour mes trouvailles, mais globalement la proposition graphique reste la même. À noter que le liquide pour l’étiquette du jus d’avocat a été repensé pour recréer l’effet texturé du breuvage.


MOCKUP
